Topi

Nom : Topi
Race : humain
Orientation : warrior
Alignement : intermédiaire bon
Motivations : découvrir le monde extérieur ainsi qu'apporter de l'aide a sa famille.
- Défauts : parfois trop solitaire pour faie certaine choses, n'est pas sur de ses capacitées.
- Qualités: humeur joyeuse, ouvert d'esprit, sociable, aime se promener en groupe.

Avis sur les races :
je ne connais pas beaucoup les autres races car je vivait loin de tout cependant le nom orc meme s'il désignait le nom des orc sauvage ne me met pas a l'aise. Dans toute personne on peut trouver un ami


L'histoire de Topi


Le petit village de Néobac n'est connu de personne et pour cause il abrite à peine 5 familles dont leurs seules ressources, elles les doivent à leurs propres cultures. L'eau devient de plus en plus rare, la terre s'assèche peu a peu, la vie n'y est pas de tout repos. C'est ici que je suis né, élevé entre une fourche et une pioche et repondant au doux prénom de Topi.
Mes deux parents ruinés d'efforts au travail ne m'ont jamais délaissé, malgrés le manque de vivres, les raids déstructeurs des orc sauvages, les intempéries, qui jonchait notre quotidien, je n'ai jamais manqué de nourriture ni d'amour. Ma mère, Angèle m'a toujours apporté toute son attention, je me souviendrai éternellement des tendres soirées au bord de mon lit me contant les aventures des plus grands héros de la région. Mille et une fois je m'imaginais le monde exterieur que m'expliquait ma maman, où toutes les races et tous les animaux vivaient en osmose complète dans la plus grande joie ... Pour mon père, Vicac, j'étais sa perle la plus précieuse, son trésor comme il le disait. Néanmoins, j'étais surtout un homme, jeune, certe, mais déjà avec toutes les responsabilités que cela implique dans le village. Très vite je du apprendre les régles de la nature, la chasse, la peche, l'agriculture et évidemment, le maniement des armes pour défendre notre village. Car en effet mon père voulait m'enseigner l'art de la guerre, certe pas à la manière des grandes écoles comme il disait mais à la manière du coeur. Il me contait souvent, lui aussi, des histoires du monde extérieur, mais d'une tout autre façon que ma mère. La guerre et autres conflits tenaient une place principale ... la lutte des races qu'il me disait. Ma vision du monde se partageait entre les histoires de maman et de papa.
Au fil des années, mon apprentissage devenait de plus en plus pointu, grâce aux enseignements qui se transmettaient de générations en générations et la détermination de mon père. Ma motivation, de voir un jour de mes propres yeux le monde ne cessait de grandir en moi, une sorte de curiosité insoutenable, aténuée cependant par la peur. Ma jeunesse n'était pas trés passionnante, mes seules occupations étaient les champs, l'entrainement et les contes de mes parents. Cependant, plus les années passaient et plus les ressources naturelles, auquelles était tant rataché le village, dépérissaient. Les évenements étaient graves et le village en péril, il fallait reagir au plus vite...
Du fait de mon âge et de mes aptitudes, autant physiques que techniques, je devins vite l'élu du village qui se devait de trouver de l'aide dans les contrés extérieures. Mes sentiments étaient partagés entre la joie de réaliser mon rêve de conquêrir les chemins extérieurs et la séparation douloureuse avec mes parents ainsi que la gravité de la situation. La veille du grand départ mes parents sont entrés dans ma chambre, non pas en pleurant, mais souriant. Je me souviendrais toujours des leurs paroles ”Mon fils sache que les plus belles choses au monde sont les rêves, car personne ne pourra te les enlever, très peux de personnes ont la chance de les réaliser. Ne voit pas ton départ comme une mission, nous sommes vieux et tu es jeune vit ta vie ne te soucis pas de nous, profite de cet évenement pour découvrir de nouveaux horizons... fils nous t'aimons de tout notre coeur”. La nuit entière fut bercée par ses paroles ...
Le lendemain le départ fut dur mais mes premiers pas bien décidés. Les chemins étaient longs et périllieux, j'ai beaucoup marché seul, loin de tout, ne trouvant aucun signe de vie. J'étais fier de mettre enfin en pratique tout l'enseignement de mon père et sans cesse ma famille était dans mes pensées. Ce fut au bout de 2 semaines de marche que j'atteignis un village. Contrairement à mes attentes je pensais rencontrer énormement de monde venant de toute les différentes contrés mais rien de tout cela ne se produisit. En effet je ne vi que des artisans ou commercants ainsi que les dirigeants du village. Affaibli par mon voyage je decida de rentrer dans ce qui semblait être un magasin pour y acheter des vivres. Mon émerveillement fut tel lorsque je reconnu une armurerie d'où des milliers de casques et épées rayonnaient ensemble. Après quelques pas dans cette échope j'entendis une voie d'homme viril et ferme “Montre moi tes épees les plus tranchantes armurier !” Oh mille joies de voir que j'étais en face du premier guerrier que je voyais en vrai ! Je ne pu rien dire mais seulement rester devant lui debout à le contempler. Intrigué par mon regard posé sur lui il n'hésita pas à me parler “Je me nomme Ronan quel est ton nom jeune homme ?” je lui repondis timidement “ Topikou mais l'on m'appel souvent Topi ...” C'est ainsi que je fit connaissance avec cet homme qui m'expliqua très vite comment vivre en ces terres. Il me fit don d'objets, d'équipements ainsi que d'argent en guise de bienvenue dans cette contré, éternellement je lui serai reconnaissant d'une telle gentillesse. Non seulement il était le premier guerrier à mes yeux mais aussi mon premier ami. Malheureusement, il du reprendre son chemin mais il m'affirma qu'à tout moment il serait là pour m'aider, certe pour le moment mes services ne pouvaient pas lui être d'une grande aide mais je lui fit la même promesse.
De suite après son départ je decidai de devenir à mon tour guerrier, représenter la bravoure, la fierté, un tel charisme... mais pour cela il me fallait revoir mon équipement pour cela je fi moi aussi mes achats dans l'armurerie. L'épée fut naturellement mon premier choix ainsi qu'une paire de bottes toutes neuves pour remplacer mes anciennes qui commençaient à se trouées à cause des longs chemins parcourus. Je nageais dans un bonheur sans fin orné de mon nouvel équipement je ne pu m'empécher d'aller m'éxercer pour m'entrainer encore et toujours. Après quelques jours de travail, je suis retourné à l'armurerie afin de regarder les nouveautés. J'aime regarder les nouvelles épées toutes aussi belles les unes que les autres toutes aussi puissantes et majestueuses. L'épée d'un guerrier est sa vie me disait mon père. Cependant, en regardant les présentoirs, je ne pu faire mon choix, en effet deux belles lames étaient dans mon coeur, le choix était difficil et il se révela impossible ... je devais trouver une solution.
Je décidai de demander conseil à Ronan qui lui avait une plus grande experience de la bataille. Il m'expliqua que dans ce village vivait un maitre d'armes spécialisé dans la lutte à double épées mais qu'il n'enseignait pas à tout le monde. La seule solution était de m'entrainer encore et encore afin de pouvoir prétendre à passer ses épreuves, qui me permettraiens de suivre ses enseignements. A ce jour je m'entraine dans l'espoir qu'un jour je puisse accéder à cette technique spéciale.

Si la lame du guerrier est sa vie , imaginez ce que peut être un guerrier avec deux vies.

J'ai suivis les enseignements du maitre dual sans grandes difficultés et à ma grande surprise, en effet cela reprennais les bases que m'avait appris mon père dans ma jeunesse. Cependant, si le maniement d'une seule épée etait acquis il restait l'utilisation de deux épées simultanément. Cela ne se fit pas du jour en lendemain, bon nombre de péripéties, de découvertes, de nouvelles amitiés se son crées, mais aussi de tristesse malheureusement.
Tout mon parcourt ne c'est pas totalement passé comme je l'esperai, pourtant tout de mon côté partait bien. Je decouvrais ce monde extérieur tant rêvé, tant recherché, tout en rencontrant des gens tous aussi merveilleux les uns que les autres, mon enseignement se passait au mieux. J'allai bientôt avoir assez économisé afin de revenir aider ma famille pour les sortir de leur pauvreté. Une nouvelle vie aurait pu commencer pour nous, une maison aurait pu être construite dans ces si belles vallées que j'ai jonché, toutes aussi verdoillantes les unes que les autres, de nouveaux outils, de la nourriture, du bonheur, de la joie ... Tant d'espoirs si beaux soient-ils anéantis par une nouvelle, rien qu'une parole. Sur la place de Gludin bon nombre de voyageurs se rassemblent et nombreuses sont les nouvelles du pays qui sont contées. Le discours d'un vielle marchande de volaille m'interpela, car elle parlait d'une attaque de wolferines sauvages qui avaient froidements égorgés tous les habitants, des villages isolés des hautes montagnes bien plus au sud. Je pris tout de suite cette femme a part pour lui demander des précisions car je craignais pour ma famille, il me fallait etre sûr de ses dires. Malheureusement, c'est en prenant son bras pour l'interpeller que je vit accrocher a son cou, le collier de ma mère. Elle m'expliqua qu'un ami à elle l'avait trouvé, arraché, par terre, près du corps d'une femme et qu'il le lui avait vendu. Je ne pu retenir mes larmes et toute ma tristesse coulait le long de mes joues, l'espoir d'un jour meilleur pour ma familler venait de se briser... tant d'injustice que je ne pouvais comprendre, je refusais d'y croire. Tant de fois, j'y avais rêvé ,à cette vie a nouveau réuni ensemble, un rêve si fort. Je me souviens encore des paroles de mes parents disant que les rêves sont précieux car personne ne peut les prendre. Personne ,en effet, mais quelque chose si: la mort peut mettre fin au rêves...
Il ne me restais plus rien, aucune attache à mon passé, juste le souvenir de personnes que j'ai tant aimés. L'entrainement devenait mon mentor, cette nouvelle avait accru en moi ce désir de découverte et d'exploit. Je me devais de surmonter les épreuves, de venir quelqu'un pour que ma famille soit fier de moi et cela même au cieux. Je me devais de rendre fier mon père grâce a ma capacité à combattre, tout en vivant dans la joie de vivre de ma mère. Aujourd'hui, les mois sont passés mais les souvenirs restent présents. J'ai suivis au mieux l'entrainement de mon maitre et atteind une essence dans le maniement dual. Je suis fin prét a passer l'épreuve finale de mon maitre afin de m'élever au rang de gladiator.

Tout s'annoncait comme une journée normale parmis les meuteux, une apres midi dés plus tranquil a se prélacer au soleil, a pêcher, a écouter Wulftan conter des histoires de l'ancienne Meute... encore de bon moments partagés avec mes fréres. Nul ne pouvait deviner que cette journée allait constuire aussi fortement mon avenir.
En effet alors que Wulftan et Lenya s'adonnaient a leur petit calin habituel au bord de l'eau, que Alaste dormait profondement contre un arbre et que Houli fabriquait des petits bonhommes en bois, je pechai tranquilement sur mon rocher. N'ayant aucune touche cette activité m'a bien vite lassée, il me faller trouver une betise a faire ... encore une. Quand j'eu trouvé cette idée je me suis moi meme etonné de ne pas l'avoir fait avant, en effet depuis le début que je connai Wulf, il utilise un objet tellement curieux, tellement puissant aussi... avec toute la malice dont ont m'a doté, je suis venus subtilisé l'arc de Wulf laissant mon bon vieux chef dans ses grognements des plus chaleureux. Prit d'un consentement ou d'un découragement face a mon égard ou tout simplement de fleime, il me laissa découvrir les mysteres de son arme sans me courir apres. Tout content de enfin pouvoir m'adonner a une autre arme que des épées, j'ai vite encoché une fleche afin de voir les capacités de cet arc !
C'est avec stupefaction que je vis que j'arrivai facilement a tendre l'arc, surement a cause de ses longue années d'entrainement a combattre avec mes duals, cela m'avait quand meme procuré une force assez consequente dans les bras ... Je me suis dont tourné vers un arbre et lachant pris sur la corde, la fleche partis a toute vitesse. Cela confirma la puissant que j'avais suspecté de ces armes. Cepandant la fleche ne toucha pas l'arbre, et loin de la, 2 bon metres a coté !
Je ne pouvais me resigner a ce seul essai, mais en vint apres 1 heure de tentatives, bon nombre de fois j'ai été si prêt de ma cible sans la toucher.... Ce n'est cas se moment que Wulf, prit de pitier, ou de sympatie, ou simplement ayant finis sa sieste, qu'il s'approcha de moi afin de venir se moquer de mes tir de débutant. Je ne le prennai pas mal il avait simplement raison j'etais bien un debutant dans cette discipline. Il m'apprena la position de base de l'archer, assez spesifique, mais necessaire pour apprendre. Il me fit une démonstration, il bandit l'arc, son bras musclé se contracta tellment qu'on aurait dit qu'il allait explosé sous la pression. Il le relacha et la fleche alla tellment vite que je ne pu la voir, je revit ce morceau de bois plantée plus loin dans l'arbre tellement profondement que nul ne pouvait la faire ressortir de l'ecorce de ce pauvre arbre. L'acier n'etait plus visible seul la baguette de vois sortait de l'arbre. C'est a ce moment la que je compris que l'art du tir a l'arc demande entrainement pour etre efficace et que sans maitrise tout cette puissance n'est rien !
Sans attendre j'ai demandé a Wulf de m'apprendre a me servir de ce genre d'arme, il me repondu qu'il ne pouvait seulement m'apprendre les bases mais que je devais trouvé une école d'archer en ville pour pofiner mes acquis, cela etait plus prudent car en temps de combat sans de solide acquis, c'est notre vie qui se joue.
Dés que cela était possible Wulf me laissé prendre son arc et me donné des conseils. Peut a peut j'arrivai a faire aller ou je voulais les fleches, et je pouvais commencer a envisager de décocher une fleche d'une autre maniere que la position de base. Un soir d'entrainement, Wulf me dit que ses enseignements s'arretaient la et que je me devais de postuler dans une ecole d'une ville. Il avait raison je devais commencer a pofiner plus precisement mes acquis !
Je me souvenais qu'un maitre archer donnait des cours dans ma meme ecole ou j'avais appris a manier mes épées, j'etais deja connus de cette guilde, cela ne pouvait que me mette a l'aise. A la rencontre de ce maitre cependant je ne pouvait m'empecher d'avoir une legere peur au ventre. Il etait assez fin, laissant deviner une agilite hors pair, ses bras paraissaient habités d'une telle force !
M'a demande pour devenir son eleve ne le choqua pas j'etais deja un vil guerrier et il avait deja eu vent de quelques de mes actions au combat. Cependant les regles sont les regles, en effet je devais comme tout les autres passer un examen pour etre jugé digne de suivre son enseigment. Je n'en attendait pas moins de ces faction, qui ne prennait que les combattant assez robuste dans leur ecoles.
Il ne reste plus cas m'entrainer en attendant ma convocation pour cet examen que je l'espere relevé des plus facilement.